je me sentais seule dans ma petite maison à quelques lieux du village. Il y avait de cela longtemps que je n'y avait mis les pied pour me ravitailler et me procurer le nécessaire pour combler mes besoins vitaux. Alors je décida de quitter mon doucet domicile dès l'aube.
Le lendemain, je prépara les vivres nécessaire pour la route et commenca mon périple. Je fît la majeure partie du chemin sans aucun problème mais c'est justement cela qui me fesait peur car normalement en chemin je dois affronter des animaux dangereux et tout autre périple. Mais aujourdhui l'on aurait pus dire que même la nature et les animaux était tranquille, même trop tranquille presque inexistante. Plus je mapprochais de ma destination, plus le bruit se fesait rare et moin je voyait de vie. Rendu à un demi lieux du village, la faune et la flore semblait pratiquement éteinte et disparut de beauté.
Je commencais à faire les derniers pas qui me séparait de du chemin me menant au village. Tout d'un coup j'ai entendu des voix qui venait en ma direction. Alors trouvant le village trop louche de noirseur je me suis caché dans le bois. je vis quelques personnes vêtue d'une tenue discrete qui se dirigeait vers la montagne. je n'eu d'autre réflexe que de les suivres et quand ils stoppèrent et entrèrent dans une grotte bien caché que je n'aurais sue découvrir si je n'aurais pas vue quelqun y entrer. Donc fesant les dernier pas pour les suivre, d'autres voix arrivèrent dans mon dos. Alors je me suis réfugier dans un lourd buisson. C'est ainsi que jai vue arrivé d'autre personne de chaque race. l'orsqu'ils furent tous entré, j'ai discrètement tendu mon oreille vers la port et c'est alors que j'ai entendu:
Nous courrons à notre perte si l'on n'agis pas avec efficacité et avec stratégie. Melfus est bien trop puissant pour que l'on puissent le combattre militairement.... Donc nous devons le repousser.... comment..... le village va être condamné si nous n'aggisson pas..
C'est sous ses mots que je poussa un soufle d'étonnement et que je partis vers le village, tremblant, pour voir si les rumeurs entendus étaient fondées.
Rendu près du village, je regardais de mes yeux et je voyais toute l'horeur d'un champ de bataille perdue. Les gens que j'avais autrefois connues n'était que cadavre saigné.
Je tremblais de terreur, quand je vint pour mavancer plus près, je sentis une mains me toucher l'épaule..